Ce soir à la télé : Lino Ventura, Bernard Blier, Michel Audiard… C’est un monument du cinéma français !
Chaque jour, AlloCiné vous recommande un film à (re)voir à la télé. Ce soir : un film culte aux répliques savoureuses et indémodables.
“Les cons, ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnait.” “Faut reconnaître… C’est du brutal.” “Mais y connaît pas Raoul ce mec ! Y va avoir un réveil pénible…” Ces répliques culte, vous les connaissez sans doute, sont issues du grand classique Les Tontons flingueurs. Et il n’y en a pas que trois, loin de là !
Sorti en salles en 1963, Les Tontons Flingueurs, réalisé par Georges Lautner, raconte l’histoire de Fernand Naudin, propriétaire d’une petite usine de tracteurs qui mène une vie tranquille et sans histoire quand un télégramme l’appelle à Paris. Il arrive à temps pour recueillir le dernier soupir d’un ami de jeunesse, Louis dit “le Mexicain”, qui lui confie ses affaires louches en même temps que la garde de sa fille Patricia. Et les ennuis commencent…
Envie d’un autre conseil TV pour ce soir ? On vous recommande un film avec l’une des héroïnes les plus célèbres de Luc Besson !
Porté par les dialogues irrésistibles de Michel Audiard, Les Tontons flingueurs reste un indémodable du cinéma hexagonal. La verve des personnages incarnés par Lino Ventura, Bernard Blier ou encore Francis Blanche ne peut décemment laisser insensible !
Les Tontons flingueurs
Sortie :
1 janvier 1900
|
1h 45min
De
Georges Lautner
Avec
Lino Ventura,
Bernard Blier,
Francis Blanche
Presse
3,8
Spectateurs
4,3
Streaming
Adapatation du roman Grisbi or not Grisbi d’Albert Simonin (également co-scénariste), Les Tontons flingueurs fut la première collaboration entre Georges Lautner et le dialoguiste Michel Audiard, qui se poursuivra le temps de treize autres films, parmi lesquels on peut citer Ne nous fâchons pas (1966) ou encore Le Professionnel (1981).
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Pour l’anecdote, l’ambiance sur le tournage des Tontons flingueurs était des plus cocasse. En effet, Francis Blanche, qui venait du café-théâtre, aimait à manier l’autodérision jusqu’à l’excès, au grand désarroi de son partenaire Lino Ventura qui, lui, préférait les choses écrites et établies à l’avance. Ayant compris cela, Georges Lautner resta sourd aux complaintes de Ventura et encouragea au contraire Françis Blanche dans cette voie.
Ce soir sur France 2 à 21h10
Le Top 5 des films de 1963 selon les spectateurs :
"88 miles à l'heure, Marty ! On va où cette semaine, Doc ? 51 ans dans le passé !"
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